Barry Lyndon
Neuf
Affiche française de Guy Bourduge & Guy Jouineau.
En stock
Fiche technique
| Propriétés | Robe colorée |
| Genre | Historique-Guerre |
| Couleur | Noir & Blanc |
| Orientation | Vertical |
Quelques informations
Film anglo-américain de Stanley Kubrick sorti en 1975.
Le film est inspiré du roman Mémoires de Barry Lyndon (The Luck of Barry Lyndon) de William Makepeace Thackeray.
Avec : Ryan O’Neal, Marisa Berenson.
L'INTRIGUE
Barry Lyndon dépeint la fresque de l’audacieuse ascension sociale d’un jeune irlandais dans la société aristocratique britannique du XVIIIème siècle et de sa tragique déchéance.
LES AUTEURS
Guy Bourduge et Guy Jouineau, "les 2 Guy", sont deux affichistes français inséparables dont la carrière au Cinéma se situe entre les années 1960 et 2000.
Ils ont réalisé ensemble plus de 500 affiches de cinéma sous la signature Jouineau-Bourduge. Ils sont notamment les auteurs des affiches de Barry Lyndon, Les Sentiers de la Gloire, Vol au dessus d'un Nid de Coucou, Les Tontons Flingueurs, Rocky, Fellini Roma, La Cage aux Folles…
Ils se rencontrent dans leur jeunesse à l’Ecole des Arts Graphiques de Paris puis ne se quittent plus. Ils sont introduits dans le milieu du Cinéma par Charles Aznavour, qui fut séduit par deux de leurs affiches qu'ils avaient créees pour lui. Ils réalisent leur première affiche de cinéma en 1957 pour le film Nathalie de Christian-Jaque. C’est alors le début d’une longue et prolifique aventure qui les amène à travailler ensemble pour les plus grands réalisateurs pendant une cinquantaine d'années.
En 1990, ils reçoivent le César de la meilleure affiche pour leur affiche de Cinéma Paradisio.
ANECDOTES
La Production s'opposa vivement au design de l'affiche française de Barry Lyndon. Le film avait été tourné presque entièrement à la lumière naturelle, ce qui représentait un budget conséquent que les producteurs ne voulaient pas "réduire" à une affiche en Noir & Blanc.
Stanley Kubrick, qui adorait cette affiche, et les deux affichistes Guy Jouineau et Guy Bourduge durent fermement se battre pour l'imposer aux producteurs. In fine, cette affiche très audacieuse pour l'époque est restée dans les mémoires. On dit également que Stanley Kubrick préférait cette version à la version américaine.